Le grenier de Pascale
Micki, 29 juillet 2012
Echelle : 1/20
Dimensions : 15 x 20 cm
Cette vitrine est un cadeau pour mon amie Pascale. Ce grenier est imaginaire, mais reprend des éléments de l’univers de Pascale. Les murs et la toiture sont inspirés de ceux de sa vraie maison.
C’est un grenier où l’on vit. On y passe de longs après-midis d’été à jouer, à se déguiser, à fouiller….
Visite du grenier
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La malle et sa jumelle. La toile de Jouy est imprimée sur du coton imprimable. Les ferrures sont en Canson noir taché avec de la peinture grise et ocre. La toile est salie à l’extérieur avec du crayon à papier, et à l’intérieur avec un crayon de couleur jaune.
Quelqu’un a fouillé dans les vieilles revues de mode, les catalogues, les cartes postales, le courrier…
J’avais prévu de fabriquer un cochon et une souris, et en modelant la souris, je me suis aperçue qu’il était facile de faire un canard ; il est ravi d’être là ! Les tissus sont mis à l’envers pour donner des couleurs plus douces…
Le « tout petit théâtre » est la photocopie à la même échelle d’une oeuvre de Pascale elle-même. L’original est en carton peint à l’acrylique. Le corps du piano est en samba, y compris les pieds découpés à la scie à chantourner. Le couvercle est en papier. Les touches noires sont découpées dans du bristol. Les chandeliers sont en blumendraht et papier.
L’axe du tabouret est sculpté dans une baguette de bois dur. Les trois petits pieds sont en carton-bois. Le coussin est sculpté dans du carton-mousse pelé. Il est entouré d’un fil à broder.
La maison de poupées est une adaptation de celle proposée par les Patouilleuses dans le Calendrier de l’Avent 2010.
Quelques mots sur la fabrication de la vitrine
Les tuiles sont fabriquées d’un seul tenant, dans du carton. Le gris est un fond de calendrier, et le jaune clair du carton-bois. Sur la gauche, deux essais d’enduit, pour arrondir les rainures. D’abord de la pâte à bois, puis de l’enduit bois « finition », de grain plus fin que la pâte à bois. C’est celui-ci qui a été retenu.
Les murs sont en carton-mousse pelé puis labouré à la fraise (sauf celui de gauche simplement recouvert de Canson sali au crayon). L ‘espace entre le haut du mur du fond et les tuiles (espace laissé par l’implantation de la charpente) a été comblé encore avec du carton-mousse pelé, et de la pâte à bois. Pour une fois, on ne ponce pas, car les grosses irrégularités sont bienvenues pour imiter les grands coups de truelle dans le ciment.
Le plancher est découpé dans une barquette de pain de campagne, au bois tendre et irrégulier.
Le vrai mur